Tuesday, March 23, 2010

Le "saut qualitatif" d'avoir une visée

La nouvelle du jour consiste en ce qu'ETA a tué un policier en France. Plusieurs soulignent sur ses couvertures que c'est la première fois et, donc, on parle "d'un saut qualitatif" comme cet article du même titre dans Abc, son éditorial online, ou des nouvelles différentes d'elpais.com, lavanguardia.es, et sûrement d'autres plusieurs. Mais les mêmes moyens racontent comme cela que c'est déjà la cinquième fusillade entre des policiers français et des membres d'ETA. Déjà en 1996, un compte Abc, un policier a semblé blessé grave dans une poursuite (il n'est pas clair si par des coups de feu ou par un accident), et en 2001 un gendarme a reçu sept coups de feu.
Il n'y a pas donc de saut qualitatif aucun. Simplement, plus de visée. Si l'herméneutique d'une bande clandestine est déjà de par soi très compliquée, il serait mieux que nous ne l'emmêlassions plus en lisant le résultat de balles lancées dans une fusillade comme si c'était des lies révélatrices de café de décisions inexistantes. En cas d'une nécessité, ETA s'enveloppera à des tirs avec la police française, et c'est pourquoi, logiquement, elle est disposée à tuer des policiers français. Nous le savions depuis beaucoup d'années, et ils l'avaient démontré. Rien de cela n'a changé aujourd'hui.
D'autre part, Iñaki m'écrit avec ces quatre captures d'écran des couvertures deux journaux français et deux espagnol, d'aujourd'hui même, depuis longtemps.




Le contraste est criard (la nouvelle est absente chez les deux français, et est très détaché chez les deux Espagnols), et la vérité consiste en ce que je ne sais pas très bien qui fait le correct. Traiter au terrorisme comme la délinquance commune (si un délinquant tue une femme-policier dans un affrontement après un vol dans tout lieu de l'Espagne, il ne serait pas sur la couverture) est une manière possible de lutter contre lui, en réduisant précisément sa capacité d'influer sur nos vies. Passons-nous ici ou les français restent courts ?

Saturday, March 20, 2010

Faire des graphiques et des cartes avec Google Public Data

Il y a trois ans Google a acheté Trendalyzer, la technologie qui était derrière la page fabuleuse de Gapminder. Maintenant Google lance une nouvelle page Google Public Data Explorer, où il applique les mêmes outils à de nouvelles données, et invite des institutions avec des données publiques à profiter de l'outil pour faire ses données les plus accessibles et visualizables (ce que Gapminder a déjà promis, mais je crois qu'il n'est jamais venu de succéder). Espérons que cette fois ils ont un succès.
Pour le moment je leur mets là une épreuve rapide de ce que l'on peut faire. Un effronté.

La neige à Pékin est un peu bambin

Pardonnez le remplissage comme un My Fair Lady. C'est que c'est ce que suggèrent les douzièmes de moyens qu'ils ont publiés, éperonnés par Efe, que Pékin est resté paralysé par "des précipitations en forme de la neige de 4,8 millimètres, qui au nord de la ville sont devenus de jusqu'à 12,6 millimètres" : Abc.es, Elpais.com, Lasprovincias.es (et le reste de groupe Vocento), l'Onde Zéro, L'avant-garde, Antena3, L'économiste... et tant les autres.
Comme me le dit Manuel (merci) : Personne ne s'étonne-t-elle de ce qu'une chute de neige de 0,5 cm à 1,3 cm paralyse une ville et elle est considérée historique ? Peut-être oui, mais la ligne de production ne peut pas s'arrêter dans ces bagatelles.
D'autre part: d'où est sorti Efe sa donnée ? J'ai deux théories.
La première consiste en ce que les données citées consistent des stations météorologiques, en ce qu'ils donnent la mesure de précipitation dans un mm (des litres de l'eau par mètre carré), bien que cela ait été en forme d'une neige, et en effet, les données coïncident à peu près avec ceux de Weatheronline pour la somme des 2 et 3 janvier à Pékin.
Mais comme les météorologues me disent, la précipitation en forme d'une neige a l'habitude d'atteindre une hauteur 10 fois plus grande que l'eau (avec changements), autour de 1 cm de la neige par 1 mm d'eau. De telle manière que 12,6 mms d'eau pourraient équivaloir à environ 12 cm de neige, qui commence à être une hauteur considérable, bien que très loin des 30 cm dont ils parlent les moyens d'autres pays (par exemple, le Sydney Morning Herald, en citant Frances Press), et qui semble plus logique pour une chute de neige "historique" (bien qu'il ne coïnciderait pas avec les données de Weatheronline).
La deuxième théorie est encore plus simple : 30 centimètres sont à peu près 12 pouces, comme nous rappelle le propre France Press. 12 pouces, 12 millimètres...
Vous avec lequel restent-ils ? Download The Secret Life of The American Teenager S02E23 I Got You, Babe free

Friday, March 19, 2010

Malaprensa 2009

Après être trouvé obligé à éditer toutes les recettes de Malaprensa en 2009, j'ai trouvé qu'il y a suffisant un bon matériel comme pour récupérer le prix Malaprensa de l'année que nous avons déjà donnée pour 2005, 2006, et 2007.
J'ai choisi les candidates avec une combinaison de mon goût personnel et de vous, à travers des indicateurs (imparfaits) du nombre de visites reçues et du nombre de commentaires. J'ai s'en tenu aux exemples de malaprensa strict, selon la définition originale (des nouvelles, avec erreurs fácticos, pas seulement d'une interprétation). Cela me mène à exclure des articles d'opinion, comme ceux des titans de la sottise Almudena Grandes (qu'il a rectifiée, tout faut le dire) et César Vidal. J'ai aussi exclu des erreurs corrigées, comme celui de Pierre et de Bibi dans elpais.com, ou celui des rendez-vous de Marx de Cayo Lara. À ma connaissance, donc, les candidates n'ont pas été rectifiées par les moyens correspondants (envoyez-moi une information s'ils trouvent les corrections ou les fois d'erreurs qui se réfèrent à elles).
Avec ces critères, ce sont les candidates, par un ordre chronologique :
  1. Madrid, une ville très sûre, avec 11 homicides au jour (presque tous les moyens)
  2. La très grande augmentation de la participation en Galice qui n'a jamais existé (presque tous les moyens)
  3. Deux graphiques circulaires sur l'arrêt qui cachent ses dimensions (elpais.com)
  4. Le changement climatique, le plus grand défi humanitaire de notre temps (elmundo.es)
  5. Chaque jour 500 pages de pornographie infantile sont créées dans le réseau (comme en 2004!!!) (elmundo.es)
  6. Les élèves de la CELA folâtrent comme les fous (Abc.es, Elpais.com et les autres)
  7. 12.000 portatifs perdus par semaine dans des aéroports d'États-Unis (elpais.com)
  8. Federer gagne par 6-3, x-x, x-x (La Nouvelle-Espagne)
  9. Les mileuristas consacreront presque un salaire à payer la montée d'impôts (Abc)
  10. Chaque minute 95 enfants meurent par malaria (elpais.com)
  11. Les prix des hôtels descendent 94 % à New York (Le Monde)
  12. 20.000 enfants prostituyen actuellement en Espagne (elmundo.es)
Cargando...

L'ONU demande 390.000 millions

C'était le titulaire d'une nouvelle hier à l'édition dans un papier Du Monde (d'un paiement), en se référant à la pétition de l'ONU pour aider les Haïtiens. Je suppose qu'ils fussent basés sur ce bureau de l'Europe Press.
Le chiffre est dans des euros. Dans le texte de la nouvelle que Miguel m'envoie (merci) on précise que la pétition originale est de 560.000 millions de dollars.
Naturellement, il suffit de savoir que les habitants de l'Haïti sont 9 millions et les affectés par le tremblement de terre environ 3 millions (comme racontent tous les journaux ces jours), pour se rendre compte de ce que quelque chose sonne rare : ce seraient 43.000 euros (62.000 dollars) par Haïtien ou 130.000 euros (187.000 dollars) par affecté. À peu près l'actuel PIB du pays pendant 80 ans.
Personne n'a fait les comptes elle ni s'est étonnée. Mais un peu de bon sens et une recherche online aurait éclairci que, pour une aide urgente, la pétition réelle est 1.000 fois mineur : 562 millions de dollars.

Thursday, March 18, 2010

Basques et allemands

L'un est déjà si habitué à que les moyens se limitent à copier et à coller les erreurs (ou des pièges) qui leur passent les autres qu'il oublie dont ils solitos aussi savent les arranger pour des sottises sont inventées.
Grâce à Dani je lis ce titulaire de Deia :
Les travailleurs basques gagnent presque la moitié que les Allemands
Allez, je qui croyait que nous avions convergé un peu plus avec l'Europe. Ne s'affligez pas, qu'ici vient le sous-titre :
Son salaire rustre annuel est de 25.488 euros en face de 40.914 des teutoniques
Eh bien, je reste déjà un peu plus tranquille sur les salaires; bien que réellement perplexe sur le titulaire, qui en plus de faire le mal le calcul, choisit arbitrairement les Allemands comme il référence (ce ne sont pas ceux qui gagnent plus de l'Europe) et il mélange des données d'années et des fontaines distinctes pour la comparaison (en lisant le texte on voit que la donnée de la CAV est de 2009, de l'INE et celui de l'Allemagne de 2008, d'Eurostat).
Dans le texte il apparaît de nouveau le de "presque la moitié", mais cette fois en comparant le salaire espagnol de 2008, 21.500 euros, avec ceux de la Grande-Bretagne (46.058), l'Hollande (42.720) et l'Allemagne (40.914). Il devrait avoir dit "autour de la moitié", parce que dans un cas il n'arrive pas, est dans l'autre la moitié, et en autre il la surpasse.
Mon hypothèse : celui que le titulaire a rédigé a mis le txapela (comme la nouvelle est dite dans le jargon journalistique local à "vasquizar"), il a changé trois pays pour l'un (par espace, peut-être) et il est oublié de réviser le calcul. Une délicatesse, allez.

Wednesday, March 17, 2010

Tout gratis pour l'Haïti ?

(Un oeil : ce n'est pas malaprensa)
Le scandale apparemment répandu m'étonne un peu parce que les banques touchent des commissions pour faire des transferts après avoir fait des dons pour l'Haïti.
En général si je veux déposer un argent en compte étranger (supposons que d'une banque différente de mien) j'ai quelques formes de le faire : les unes gratuites (je vais à ma banque, je fais la queue dans un guichet ou j'utilise le distributeur de billets de banque, je sors de l'argent, je vais à la banque où est le compte, je fais la queue de nouveau, et je dépose l'argent) et les autres qui le ne sont pas (depuis le distributeur de billets de banque de ma banque, ou par téléphone ou par Internet, ou en faisant la queue dans un guichet, j'ordonne un transfert, la banque la fait et une commission me touche normalement). Les deuxièmes sont normalement plus confortables et rapides que les premières, et c'est pourquoi la banque me touche, ce qui s'explique parce qu'il me fait la vie la plus facile et il me donne un service que j'apprécie. Si le prix me semble cher, je peux toujours recourir aux options gratuites.
Mais il semble que si je veux transférer l'argent à un compte d'une ONG à destination de l'Haïti la banque est aussi obligée à m'offrir le service qui me prête (à moi, non aux Haïtiens). Je ne vois pas pourquoi, franchement (sauf, clair, que la banque a promis le faire, comme il consolide dans cette nouvelle Du Pays, bien que la bancaire patronale parle plutôt d'une coutume, non un compromis).
En suivant cette logique, et encore avec plus de raison, je suppose que les compagnies aériennes ne doivent pas toucher les billets aux coopérants, les pompiers, ou les journalistes qui ont voyagé là. Ou s'ils veulent un similaire plus voisin, celles qu'ils ne doivent pas toucher sont les agences de voyages, par les commissions pour émettre les billets. Celles de transport d'articles ne devraient pas non plus toucher les ports. Les compagnies téléphoniques doivent offrir aux ONGs les appels à l'Haïti (ou mises en rapport à l'Haïti, si on pouvait savoir lesquels sont). J'imagine que tous les journaux doivent publier un total gratuit les annonces ces jours en demandant des donations. Et les agences télégraphiques qui dessinent ces annonces les rendront gratuits. Et celles qui fabriquent ou vendent un matériel sanitaire, j'imagine qu'ils auront à offrir les ONGs... et j'ai pris racine ad infinitum. Je me demande si les journalistes (spécialement les freelance) qui sont en Haïti devraient renoncer à son salaire de ces jours, n'allez pas consister en ce que quelqu'un les accuse de profiter de la catastrophe. En réalité, tout employé d'ONG humanitaire qui touche un salaire, par définition, vit du malheur étranger. Des canailles!

Quatre règles basiques pour des nouvelles d'enquêtes

M'envoie une lectrice (merci, Inés) un lien à la page fantastique PHD Comics, qui raille normalement la vie académique, mais qui cette fois a écrit dans une seule une bande, quatre leçons basiques de statistique pour des journalistes.
"Piled Higher and Deeper" by Jorge Chamwww.phdcomics.com
Ma traduction rapide :
Chers médias,
Après avoir donné des nouvelles de résultats d'enquêtes, s'il vous plaît, prêtez une attention aux suivantes sugerencias:1. Si deux enquêtes se distinguent dans moins que la marge d'erreur, il n'y a pas de nouvelle. (Dans la vignette) : "Les données d'enquête pour le candidat O s'écroulent!!!")
2. Les faits scientifiques ne se déterminent pas à des enquêtes d'opinion publique (Dans la vignette) : Une chaîne de nouvelles médiévales. "Oui, Galiléen, mais : qu'est-ce qu'il nous dit des dernières enquêtes qu'ils disent que la terre est plate ?"
3. Une enquête de ses spectateurs / lecteurs d'Internet n'est pas une enquête scientifique (Dans la vignette) : Un speaker : Et maintenant, pour remplir un temps d'émission, une enquête qui montre que les gens qui pensent comment j'il est d'accord avec moi. (Dans l'affiche) ai-je raison ? Bien sûr 99 % je me casse d'un rire 67 %
4. Ça va si toutes les enquêtes incluent l'option "ne m'importe-t-il {-elle} pas ? (Dans la vignette) : Ici les résultats de l'enquête sont votaciónCandidato A : 30%Candidato B : 26%Lo qui est : 44 %
Signé : quelqu'un qui a donné un cours basique de statistique
Qui sonne tout si familier dans un cómic qui s'écrit aux États-Unis, il nous fait voir que, comme une amie dit, "everywhere boil beans".

Tuesday, March 16, 2010

Obama a jeté la serviette

Comme savent mes amis, je suis un lecteur avide de nouvelles de la politique nord-américaine. C'est pourquoi quand aujourd'hui j'ai vu la couverture Du Pays, je suis resté d'une pierre, quand avait vu ce titulaire à quatre colonnes :
Obama abandonne son programme de réformes après avoir perdu le Massachusetts
Conio: qu'est-ce qui a passé ? quand ? où ? Comment consiste-t-il en ce que je n'ai rien lu aux pages américaines que je suis ? Tant d'heures mène-je sans lire la presse américaine ?
Quand je suis revenu à une maison et je m'ai connecté à Internet j'ai vu qu'effectivement, Tu ni Escroques le New York, ni le Washington Post, l'Huffington Post ils semblent avoir appris le primeur Du Pays. En fait, le contenu de la nouvelle révèle que le président maintient ses compromis, mais le correspondant a interprété qui bien qu'il dise une chose, pense l'autre :
Le président a admis dans son discours d'hier que la réforme sanitaire avait souffert d'un revers sérieux dans la dernière semaine pour bonheur des compagnies d'assurance et des coalitions d'intérêts. Bien qu'il dît que cela continuait d'être son objectif, la création d'un nouveau système de santé est déjà clairement en dehors des priorités de l'Administration.
...
Impossible dans ce climat essayer maintenant, comment il était prévu, la discussion des autres de grands projets de la Maison Blanche, comme la réforme énergétique, la protection de l'environnement ou de la réforme éducative. Bien que le renoncement ne soit pas officiellement accepté aux promesses électorales, un porte-parole de la Maison Blanche a reconnu que dans ces moments il était nécessaire "se tranquilliser et prendre une bouffée d'air". [des caractères gras additifs]
Pendant ce temps, les moyens locaux n'ont pas encore développé la capacité du journaliste espagnol et de fait, le New York Escroque il obtient un titre "Obama, avec un ton provocant, promet pousser ses plans" (Obama, With Defiant Tone, Vows to Push Agenda) et il commence ainsi sa nouvelle :
President Obama, striking à non - retreat, non - surrender posture in the wake of his party's humiliating defeat in the Massachusetts Senate race this week, vowed Friday to press on with his expansive domestic un agenda — including à health care overhaul and tough new restrictions on banks — even if it meant ai had to “take my lumps” from political critics.
[Plus ou moins : Le président Obama, en adoptant de position de retraite ni reddition après l'échec humiliant de son parti dans l'élection au sénat dans Massachusetts de cette semaine, il a promis vendredi continuer avec ses vastes plans de politique nationale - en incluant une réforme du système de santé et de nouvelles restrictions dures aux banques - même si cela impliquait emporter quelques coups de ses critiques politiques]
Quels amateurs.

Un Untel et un Untel

Il m'envoie, Eduardo (mille merci) cette photo amusante de l'Abc d'aujourd'hui. Il est de la chronique du parti entre le Depor et l'Athletic. Comme le dit Eduardo : ces semelles que le diable charge!

Monday, March 15, 2010

Chávez et le tremblement de terre

Je lis dans Magonia que la nouvelle de l'Abc qui a dit que Chávez accuse des EU de provoquer le séisme de l'Haïti, c'est une distorsion considérable de la réalité. Comme il a passé à Luis Alfonso, et je suppose qu'à des autres beaucoup de gens, j'eusse vu de passée la nouvelle et je me suis cru que ce pouvait être certain, en connaissant le personnage.
Mais en réalité, la propre nouvelle se séparait déjà du titulaire, puisque celui-ci attribue personnellement Chávez quelque chose qui selon la nouvelle avait dit "un communiqué de presse de l'exécutif" qui était apparu dans le web d'un canal de télévision étatique. Cependant, comme il est facile de vérifier, le texte a été publié sans signature dans la section d'Opinion sur la page Web de la télévision, bien qu'il soit rédigé par format plutôt d'une nouvelle. Par aucune partie on ne dit que c'est un communiqué de presse du gouvernement.
Naturellement, une télévision publique en actuelle Venezuela n'est pas l'une un milieu ni moyennement indépendant. Mais cependant, attribuer directement à Chávez le contenu de tout ce qui est dit dans elle est évidemment une exagération.
Que je sache le journal il n'a pas rectifié. Je trouve seulement une nouvelle version de la nouvelle, qui a éliminé l'attribution à Chávez du titulaire, mais il la maintient dans le sous-titre.
Pendant ce temps, quelques moyens de tout le monde ont recueilli la nouvelle d'Abc, avec différent degré de finesse et de nuance au sujet de l'attribution à Chávez ou à la télévision publique. Un grand succès du journalisme espagnol.

Subidón du crédit hypothécaire

Il dit aujourd'hui Le Pays que La banque reouvre le robinet du crédit aux acheteurs de logement. Le texte, comme vous pouvez voir, ne contient pas réellement de données "dures". Seulement des impressions, des opinions d'experts (souvent anonymes)...
Mais à l'édition dans un papier apparaît un graphique spectaculaire, qui lui fait à dire l'un : "ça alors, oui qu'ils changent les choses". Il est ce :

Avant que vous n'excitiez de plus de compte, jetiez un coup d'oeil aux nombres d'axe vertical : la valeur minimale est 1.049.000 (des millions d'euros) et du maximum 1.063.000. C'est-à-dire que le subidón du graphique, depuis la valeur minimale de février au maximum d'un novembre est de... un peu plus de 1,3 %.
Un exemple de livre de comment l'usage des axes tronqués sert à transmettre une impression visuelle qui a peu à voir avec les nombres qui existent derrière. D'autre part, la variable choisie, qui est le solde des actifs hypothécaires vifs (il devrait avoir été spécifié dans le graphique), peut-être n'est pas plus adaptée pour illustrer, précisément, le rythme de concession de crédits, puisque le changement mensuel est petit, par rapport au total accumulateur existant. Cela se trouve meilleur dans un graphique qui représente justement le changement mensuel de ce solde d'actifs hypothécaires, comme cela du dernier rapport de l'AHE (pdf) :

Le graphique est discutable par d'autres raisons, et c'est trop compliqué, je suppose, pour un journal (peut-être avec lignes au lieu des barres il serait publicable). Mais au moins il permet de voir comment 2009 a commencé très mal (les nouveaux prêts étaient plus petits que les amortissements en janvier et février) et tout de suite est allé un peu mieux (le solde d'actifs a grandi dans tous les mois de moins je pais qui a toujours été flemmard). Mais il permet de voir aussi que la récupération a été très faible : le solde grandit à peine en septembre, octobre et novembre, et tous les chiffres sont pires que celles qui existaient même au début de 2008 (ne disons pas déjà les années précédentes). Franchement, hors de danger dont il a passé depuis un novembre, parler de que les banques "ouvrent le robinet" semble risqué.

Sunday, March 14, 2010

Subidón du crédit hypothécaire (2)

La courbe d'hier Du Pays avait pas seulement des problèmes d'échelle. De plus, comme j'ai signalé de passée, la variable à laquelle il se référait était le solde vif total des prêts hypothécaires existants en Espagne, qui ne peut pas être liée directement aux prêts pour l'achat de logement accordés chaque mois, déjà quea) il inclut tant des prêts pour logement comme d'autres prêts hypothécaires (des promoteurs, tu t'ingénies, agraires, commerciaux). b) à l'être le solde net des actifs, est le résultat de la différence entre des actifs des nouveaux prêts et d'actifs réduits par amortissement et annulation. Ainsi, une augmentation de 2.000 millions des actifs peut être le résultat de la concession de 4.000 millions et de l'amortissement de 2.000, et de la concession de 10.000 millions et de l'annulation de 8.000.
Par conséquent, si ce que nous voulons savoir est comment va la concession de crédit sur un logement, les données de l'AHE ne sont pas trop de renseignements. En lui tournant le sujet je me suis souvenu de ce qu'il y ait une fontaine beaucoup plus directe pour nous informer de cela, à laquelle aussi se réfèrent souvent les journaux : l'INE publie chaque mois la statistique d'hypothèques enregistrées, en désagrégeant par des types (urbaine, rurale, un logement, des terrains vagues...), et en informant du nombre d'hypothèques, le montant moyen, et le montant total. C'est pourquoi, on peut parfaitement voir l'évolution de la concession mensuelle d'hypothèques pour logement, sans le mélange de données de l'AHE.
La nuance unique consiste en ce que, après être fréquenté des hypothèques enregistrées, il est possible qu'il y ait un certain retard au sujet des dates dans celles qui signent les écritures notariales que ce seront quand les banques les comptabiliseront, et peut-être quand l'AHE les compte aussi. Mais cependant, elle me semble une statistique nettement supérieure si que nous voulons savoir c'est comment va la concession de crédits sur le logement en Espagne.
Et c'est ce que nous trouvons. D'abord, le graphique de 2003 à 2009 (un novembre) (click pour agrandir).

Et tout de suite le graphique pour les douze derniers mois avec données (dic08-nov09) (click pour agrandir) :

Je dirais que ces graphiques, qui sont assez plus éminents pour le sujet de la nouvelle (qu'il parlait des prêts pour l'achat du logement), comptent une histoire bien différente de celle du graphique d'hier. Hors de danger dont les statistiques de décembre et de janvier disent une autre chose, je crois que le robinet suit plus ou moins comme il était il y a un an.

Un bruit et un signe

Quand j'ai mis avant-hier ma courbe sur le volume de crédit accordé pour les hypothèques sur un logement enregistrées jusqu'à un novembre, je n'étais pas le conscient que la donnée de ce mois avait publié cela le même matin, accompagné du communiqué de presse correspondant de l'INE (c'est ce qu'il a demander aux amis de t'envoyer le dernier fichier actualisé).
Dès que par la nuit j'ai emporté une surprise après avoir vu que précisément les nouvelles parlaient de cette statistique, et ils soulignaient qu'en novembre, pour la première fois dès 2007, s'étaient constituées plus d'hypothèques sur un logement que dans le même mois de l'année précédente (encore 1,8 % pour être précis).
Comme j'étais rassemblé dans le sujet du volume du crédit, il n'avait pas prêté beaucoup d'attention au nombre de prêts, mais en effet, en novembre, pour la première fois depuis un avril 2007, ils ont été accordés plus qu'un an avant.
La question intéressante qui se pose ici est celle de la difficulté pour détecter des changements de tendance et pour les distinguer des dents simples de scie (que j'ai nommés d'autres fois anecdatos). Je m'explique : dans la majorité des phénomènes sociaux que nous observons à travers du temps, et que nous comptons (par des jours, des semaines, des mois, des années...) il y aura des tendances de fond (une stabilité, une croissance, un décroissement) et les dents de scie (d'une manière errante la donnée de chaque période concrète ne suit pas exactement la tendance, mais c'est quelque chose de plus haut ou quelque chose plus en bas que l'on pourrait attendre). Si les dents de scie sont prononcés, et nous observons beaucoup sur eux, nous courons le danger de passer chaque mois (ou une semaine, ou la période qui est) dès la panique jusqu'à l'optimisme, et vice versa, d'une manière errante, selon la déviation de la tendance qui frappe cette fois, sans nous rendre de compte de ce que nous réagissons devant des oscillations autour de la tendance, et nous ne voyons pas la tendance même.
Comment savoir si la dernière donnée d'une série est un dent de scie ou un changement de tendance ? Strictement en parlant, nous ne pourrons pas le savoir jusqu'à ce que nous voyions ceux qui viennent après. Mais ce que oui nous pouvons facilement vérifier est si les données avec le niveau de désagrégation temporelle que nous utilisons sont données ou non aux dents de scie. Par exemple, la donnée qui vient d'être publiée consiste en ce qu'en novembre encore 1,8 % d'hypothèques a été enregistrée sur un logement qu'en novembre 2008. Voyons la trajectoire de cet indicateur dans les dernières années (click pour agrandir) :

Nous pouvons voir que oui, il y a des dents de scie, et ils sont dans quelques cas considérables (même en oubliant les plus criards, en mars et l'avril, qui est vu affectés par les danses de la semaine sainte). Nous pouvons simplement l'illustrer avec les valeurs des sept derniers mois (arrondis à l'unité) :-25,-10,-19,-6,-6,-18, +2.
Avec ce degré d'oscillation autour de la tendance, il est difficile de savoir si la donnée de novembre est plus un dent de scie, ou un vrai changement faisait des niveaux positifs. Mais oui nous pouvons savoir que cette statistique, quand il s'ajoute par des mois, est laissée produire des dents de scie. Un remède pour ces situations est d'"aplanir" le virage, pour que les becs vers le haut et vers le bas ils soient compensés, et voyons la tendance de fond. Comment faire cela ? Très simple, au lieu de regarder la donnée par des mois, nous pouvons le voir par de plus grandes périodes. Que nous analysions les données temporelles par des jours, par des semaines, par des mois ou par des années c'est une convention relativement arbitraire. Mais l'une des bonnes raisons pour modifier la convention consiste précisément en ce que si le degré de l'agrégation que j'utilise produit une statistique avec beaucoup de dents de scie, peut-être il consiste en ce que je désagrège trop, que je mets la loupe trop près des données, et les oscillations autour de la tendance me déroutent.
Nous pouvons voir, donc, l'évolution de cet indicateur par perodos, par exemple, de trois mois. Au lieu d'utiliser des trimestres complets et successifs, des trimestres peuvent être utilisés deslizantes, que se superposent les uns avec les autres (comme nous faisons, par exemple, avec l'inflation, quand nous donnons la valeur des douze derniers mois, et nous le révisons chaque mois). Ainsi, chaque donnée de la série serait ene+feb+mar, feb+mar+abr, mar+abr+may, abr+may+jun...
Dans le graphique suivant nous voyons le résultat pour les dernières années (dans un bleu) superposé à la donnée mensuelle (dans rouge) que nous avons vu avant (click pour agrandir) :

La nouvelle statistique a à peine des dents de scie, ce qui est un bon indice de ce qu'il s'agit d'un niveau d'agrégation plus adapté pour distinguer la tendance des oscillations au sujet de la même. J'habille ainsi, la dernière donnée (un septembre - oct-nov) n'est pas un changement trop important, mais il confirme simplement le processus de freinage doux à la chute qui se rendait le long de 2009 : depuis une chute maximale de-41 % (dans le trimestre terminé dans ene-09), les baisses étaient adoucies d'une manière assez uniforme pendant toute l'année, et dans la dernière période la diminution est déjà "seulement" de-8 %. Une chose logique, d'autre part : après être tombé pendant un an 30-40 % sont difficiles que recommence à tomber autant.
J'imagine qu'il est de demander beaucoup qu'un journal décide que ce qu'il importe n'est pas la donnée mensuelle, mais la donnée trimestrielle, qui requiert une propre élaboration, s'écarter du communiqué de presse de l'INE, et l'expliquer aux lecteurs. Mais : ne serait-il pas ce, le type de choses que nous demanderions à quelques moyens auxquels il leur plaît penser qu'ils nous servent pour distinguer la vraie information sur les données simples, pour séparer le signe du bruit ?.

Saturday, March 13, 2010

la dernière occasion de voter

S'ils ne l'ont pas encore fait, je leur rappelle que jusqu'à douze heures de cette nuit ils peuvent voter pour choisir la Malaprensa 2009.

Malaprensa Express Février 2010

Copipego ici la MP l'Express de Février 2010. Il est un peu bâclé, mais ainsi les recettes et ses commentaires restent classés, joints. Toute la MP l'Express (sans commentaires), suit disponible ici.

L'Avatar ni Giacometti

Pour les convaincre de l'importance de bien se débrouiller des chiffres, il disait mardi aux élèves, dans la première séance d'un cours sur une presse et une statistique, que c'est éminent pour toutes et chacunes des sections des journaux, y compris celle de culture.
Et voilà que nous avons eu à seulement attendre jusqu'au jeudi pour voir un exemple sonore de ce qu'aussi pour écrire dans cette section faut savoir quelque chose des nombres. Tous les moyens nous ont comptés qu'une sculpture de Giacometti, L'homme qui marche, avait battu un record à l'être la pièce de l'art par lequel il s'était plus payé dans une vente aux enchères d'art : 104,327 millions de dollars, qui surpassaient le record précédent du tableau de Picasso, de Garçon avec une pipe, qui était dès 2004 dans 104,168 millions de dollars.
Bien sûr, le problème consiste en ce que nous ne comparons pas de dollars à la même capacité d'achat. Les dollars de 2010 valent moins que ceux de 2004, comme tout le monde sait, par cette chose une soi-disant inflation. C'est pourquoi, presque toutes les années (moins le passé, qui a été très rare dans tout), tous les prix montent et nous ne proclamons pas, chaque fois qu'ils le font qui battent des records historiques. Nous ne nous permettons pas non plus de tromper parce que notre salaire monte toutes les années, nominalement, parce que nous savons que comme va l'inflation, notre pouvoir adquisito réel peut être monté, ou non (et en tout cas, il l'aura fait moins que la montée nominale). Les montées qui nous attirent l'attention sont celles qui se séparent clairement de l'inflation : celle des combustibles dans les dernières années, celle du logement pendant la bulle, celle du bonometro à Madrid...
Imaginez-vous cette situation : quelqu'un les compte qu'il a acheté un tableau pour 104,1 dollars en 2004 et maintenant l'a vendu pour 104,3 dollars. Qu'est-ce qu'ils lui diraient ?
a) Quelle chance, tu as plus touché par ton tableau que le prix par lequel tu l'as acheté!
b) C'est dommage, quelques fois il est gagné et les autres sont perdues.
S'ils répondent a) je ne leur recommande pas qu'ils se consacrent aux affaires. S'ils répondent b), vous serez avec moi dans qui le record de Giacometti est un bluff.
Ainsi donc prenons par Le Pays la liste de 10 oeuvres pour celles qu'il s'est (nominalement) payées plus dans des ventes aux enchères, et réarrangeons les valeurs conformément au prix dans des dollars constants de 2010 (j'utilise comme déflateur, faute d'un IPC mondial que je crois qu'il n'existe pas l'IPC des États-Unis, qui sont tout compte fait celui qui émet la monnaie de référence; étant donné que nous sommes en février récemment commencé, et avec inflation presque à un zéro, il me semble acceptable, comme approche, comparer l'actuel prix à ceux d'autres années exprimées dans des dollars de 2009).

Une oeuvre

Une date de vente

Un prix nominal

$ 2009

Ranking Pays






1. Van Gogh Retrato del Dr. Gachet

1990

82,5

135,4

6

2. Renoir Au Moulin de la Gallette

1990

78,1

128,2

7

3. Picasso Garçon avec pipe

2004

104,1

118,2

2

4. Giacometti L'homme qui marche

2010

104,3

104,3

1

5. Picasso Dora Maar au un chat

2006

95,2

101,3

3

6. Klimt Retrato d'Adele Bloch Bauer II

2006

87,9

93,5

4

7. Rubens Le massacre des innocents

2002

76,7

91,5

8

8. Un bacon Triptyque

2008

86,2

85,9

5

9. Rothko Centro Cible (Jaune, la Rose et la Lavande sur Rosa Rosa)

2007

72,8

75,3

9

10. Andy Warhol Green Car Crash

2007

71,1

73,6

10


En supposant que ce ranking est correct (qui sûrement non, parce qu'il y aura des oeuvres vendues avant pour des quantités nominalement plus petites mais beaucoup plus grandes si s'exprimaient dans des dollars d'aujourd'hui) Giacometti resterait dans un quart honorable mis, mais très loin des 135 millions de dollars auxquels équivaudraient aujourd'hui 83 qui se sont payés, en 1990, par le Portrait du Dr. Gachet de Van Gogh.
Enfin, qu'aussi comme avec le faux record d'Avatar, ils nous comptent un bal populaire.

Friday, March 12, 2010

Et le gagnant est...

Ici il est finalement, le résultat de l'élection de la Malaprensa 2009. Après avoir recueilli 150 votes, la gagnante, avec 32 votes (21 %) c'est cette nouvelle fantastique de couverture d'Abc :

Naturellement, ce n'est pas une erreur innocente. Mais il est malaprensa parce que le centre de l'erreur est une sottise mathématique gigantesque : confondre (ou prétendre) au bas avec une valeur qui s'applique à tous les individus du groupe dans lequel il est calculé. C'est de plus une joute gagnante pour aller sur une couverture, à toute page.
Comme ils s'imagineront déjà, le prix modeste Malaprensa n'a pas de dotation économique, figurine, ni de cérémonie de remise. Mais il nous sert, en premier lieu, pour s'amuser; et en deuxième lieu, pour rappeler aux gagnants les obligations de sa profession.
Avec 24 votes (16 %), le deuxième poste est pour la nouvelle selon laquelle 20.000 enfants prostituyen actuellement en Espagne (elmundo.es), quand plutôt nous avons l'information de ce qu'ils peuvent être moins de 1.000 (mineurs). Et le troisième, avec une petite différence, avec 22 votes (15 %) (pendant un temps il gagnait) est pour cette inadvertance amusante de La Nouvelle-Espagne après avoir informé de la finale de l'Open Usa (qui comme ils savent a gagné Du Poulain) :

Le reste de votes émis ont été de cette façon :
  1. Deux graphiques circulaires sur l'arrêt qui cachent ses dimensions (elpais.com), 14 votes, 9 %
  2. Madrid, une ville très sûre, avec 11 homicides au jour (presque tous les moyens), 13 votes, 9 %
  3. Les prix des hôtels descendent 94 % à New York (Le Monde), 11 votes, 7 %
  4. La très grande augmentation de la participation en Galice qui n'a jamais existé (presque tous les moyens), 10 votes, 7 %
  5. Le changement climatique, le plus grand défi humanitaire de notre temps (elmundo.es)
  6. Chaque minute 95 enfants meurent par malaria (elpais.com), 5 votes, 3 %
  7. Chaque jour 500 pages de pornographie infantile sont créées dans le réseau (comme en 2004!!!) (elmundo.es), 4 votes, 3 %
  8. Les élèves de la CELA folâtrent comme les fous (Abc.es, Elpais.com et les autres), 3 votes, 2 %
  9. 12.000 portatifs perdus par semaine dans des aéroports d'États-Unis (elpais.com), 3 votes, 2 %
Gracias a todos los que votaron (y en particular a 3, Ale, Basseta, Bermartor, Bojanbojan, Borghia, brujo don carlos, Carlos, Carlos, CarlosMinneapolis, Cristóbal, Dani, Dani, Daniel Manzano, Daryl, David, ddaa, edipo_rey, elmundoalreves, ellgon, email Galicia, Emilio, gilman, Haakjvork, Ian Curtis, Javier, Jesús, Jesús, José Luis Calvo, Josu, Julio, lucagali, Luis, marcos, Max, Nacho Castejón, Numedides, pelikan, Protactínio, Redferne, Ricardo, rober, Roberto, Rubén A., Sancho, Santi, Shankio, Sísifo, t, Terry Pratchett, Topi, Vanderhof, Vicente S., y West).

Beaucoup de fumée

Un va déjà en étant vieux chien, dès que quand j'ai vu aujourd'hui dans le TD1 que Le tabagisme tue 1.500 personnes de moins par an depuis l'approbation de la loi l'Antitabac j'ai dit : je ne le me crois pas.
C'est la version de La Sixième :
La mortalité par tabagisme a été réduite de 1.500 personnes par an en Espagne dès 2005 fumeuse, la plupart passifs. Presque la moitié c'est conséquence directe de l'approbation de la loi antitabac.
Et c'est ce qu'ils disent qu'ils les ont comptés dans la conférence de presse :
"Nous sommes sûrs que la loi a aidé à réduire la mortalité, bien que la consommation de tabac baissât déjà avant que cette réglementation ne fût approuvée, par ce que nous estimons qu'environ 900 morts auraient été également évitées et environ 600 c'est résultat direct de la législation de 2005", a dit dans une conférence de presse l'un des coordonnateurs du groupe de travail tabagisme de la SEE, de Manel Nebot.
L'autre coordonnateur, Esteve Fernández, a ajouté que ces données sont "conservatrices" parce que "ils sont seulement basés sur les morts par infarctus de myocarde et cancer du poumon, quand il y a beaucoup d'autres maladies associées au tabac".
Mon ami Wonka, qui a prêté une attention au sujet depuis des années, m'a économisé le travail de faire des investigations : lisez son entrée récemment publiée dans celle qui compte comme l'étude présentée aujourd'hui il ne dit rien de cela (ce sont quatre paginitas consacrées à l'impact sur la santé).
Ce qu'il dit, en résumé, consiste en ce que "alomojó", si la loi accélérera la tendance préalable à la descente dans la consommation de tabac (une chose que la propre étude dit qu'il n'a pas succédé); et si se rendaient quelques réductions hypothétiques dans l'exposition au travail, ils s'épargneraient, dans 2010, 1.500 morts, desquelles plus de 1.300 seraient par la réduction dans la consommation (qui serait effet seulement indirect de la loi), et moins de 200 en ressorti de la moindre exposition jusqu'à la fumée ambiante du tabac dans les lieux de travail, qui est ce qui poursuivait à ce qu'on suppose plus la loi.
C'est-à-dire qui si la loi avait eu quelques effets que nous savons déjà qu'il n'a pas eu, auraient économisé 1.500 morts. Une pièce maîtresse de l'argumentation scientifique que ces gens ont due présenter d'une manière suffisamment confuse pour que maintenant tous les moyens nous la comptent comme un fait. Et que deviendra immédiatement une statistique le mutant qui s'utilisera dans les proches rondes de la discussion sur le sujet, l'espace.
Enfin, encore une pièce de la longue chaîne de canards que plusieurs croient qu'est légitime diffuser pour une bonne cause.

Thursday, March 11, 2010

La semaine de la radio

Par ces hasards de la vie, aujourd'hui j'ai recommencé à sortir par la radio, mais dans ce cas dans une station d'émission communautaire, J'irradie le Rythme, de Getafe, où j'ai bavardé pendant presque une heure avec Fernando Losada, dans son programme Détective.
Ici ils ont sa description sur le programme, et ici le lien pour décharger le MP3, s'ils ont envie.

1.500 millions d'euros dans de faux médicaments

J'ai vu hier soir dans Telecinco que les Espagnols nous nous usons par an 1.500 millions d'euros dans de faux médicaments ou de l'imitation (achetés par Internet ou par d'autres procédés sans garanties). Vous pouvez le voir aujourd'hui plus ou moins partout. Il compte au jugé : à environ 50 euros de bas par adulte. Plusieurs me paraissent.
Aujourd'hui je cherche un peu. Ici il est, le communiqué de presse de la pharmacienne Pfizer, qui paie et diffuse l'étude (on remercie qu'ils ne se cachent pas derrière une fondation) : "Le marché de 'médicaments' falsifiés en Espagne atteint les 1.500 millions d'euros". Et ici la version étendue de l'étude : pdf. Pfizer, je les rappelle, il fabrique la Viagra, cela dont nous recevons des annonces par e-mail quelques fois par jour. Et voilà qu'il ne cache pas que ce soit un sujet dans lequel il a un intérêt.
C'est pourquoi il faut prendre le rapport avec pinces et le regarder avec beaucoup de cuidadín, comme ils n'ont pas fait, j'ai peur, la majorité des moyens. Comme c'est Pfizer une enquête a fait online dans quelques pays de l'Europe, de laquelle en Espagne 1.000 entretiens ont été faits. Il n'y a pas de fiche technique dans le communiqué de presse et dans le plus vaste dossier, ce qui fait soupçonner déjà, bien que selon la nouvelle Du Pays, qui a demandé peut-être son compte, l'étude ait été réalisée "en suivant les critères de population de la base de données d'Eurostat et un panneau de sélection de recrutement de sondés avec les critères de régulation du certificat de qualité on line ESOMAR". Faute de plus un détail, cela signifierait, je connais, que ce n'est pas un échantillon autosélectionné, et qu'assez de données sont connues un associé démographiques des sondés comme pour savoir que la composition de l'échantillon ne diffère pas substantiellement de celle de la population (excepté, je suppose, dans le sujet clef de l'accès à Internet et à familiarité avec son usage). Bien, assumons pour le moment que l'échantillon est "bon" et nous voyons ce qu'ils ont vérifié.
Dans le communiqué de presse on dit que l'étude "un échantillon que presque un tiers (29,8 %) des 1.000 sondés espagnols reconnaît avoir acheté des médicaments de prescription à travers des pratiques inadéquates ou illicites, ce qui signifie qu'environ 11 millions de personnes dans notre pays ont pratiqué cette consommation de risque". Cette donnée se distingue aussi à la page 7 du dossier, bien que là on dise que l'étude suggère cette donnée.
Soyez fixés dans la phrase : "il reconnaît avoir acheté des médicaments de prescription à travers des pratiques inadéquates ou illicites". Voyons la question où les citadins ont "reconnu" cela : "A-t-il acquis une fois sans recette des médicaments de prescription ?". 29,8 % ont dit que oui. Mais le "des pratiques inadéquates et illicites" c'est un addenda du rapport qui lie subrepticement cela 29,8 % avec l'achat par de rares canaux comme Internet, avec le danger de falsifications (et des pertes pour les pharmaciennes), qui est le sujet général du rapport.
En réalité, le propre rapport dit, mais non dans la section remarquable, mais entre des lignes, à la page 8 :
Entre les personnes en Espagne qui ont admis acheter des médicaments de prescription inadéquats à travers des pratiques ou illicites, presque l'un de chaque cinq (18 %) l'a fait à travers d'Internet.
18 % de 29,8 % sont 5,4 % des sondés (tous par Internet, rappelez-vous), ou bien, s'il est préféré, environ 2 millions de personnes. Rien n'est dit sur où ses médicaments ont acheté sans recette le reste (82 % dont ils l'ont fait) mais j'imagine que la majorité immense d'eux seraient... dans les pharmacies, où souvent, comme tous savons, la vue grosse est faite, et se vendent les médicaments qui requièrent en théorie une recette sans elle. Par conséquent, avec zéro pertes pour les pharmaciennes, et en augmentant de zéro euros le compte du marché de médicaments falsifiés (bien qu'il puisse y avoir des préjudices de l'autre type, un espace).
Ce qu'il me porte, de nouveau au titulaire des 1.500 millions d'euros. Il est aussi détaché à la page 7 du rapport, comme l'un des résultats "suggérés" par le même, mais il ne dit nulle part comment ils l'ont vérifié (peut-être en calculant un pourcentage d'une estimation globale européenne, que nous ne savons pas non plus d'où il sort).
Les comptes ne me sortent pas par aucun côté. En supposant qu'aux 2 millions qu'ils ont achetés par Internet nous les additionnions, quoi je, un autre million qu'ils ont acheté par d'autres voies incertaines (si cette donnée était dans l'enquête, ils nous l'auraient compté, mais bon), nous sortent 3 millions d'acheteurs par des voies données à la fraude. Encore si absolument tout l'acheté était frauduleux (le sont 62 % des fois, selon le propre rapport, p. 12), le bas de dépense par chaque acheteur par de rares voies, il serait de 500 euros. et ils le font pour faire des économies!!!
Il va être que non.

Wednesday, March 10, 2010

Où j'ai dit je dis...

Le Pays, une nouvelle principale de couverture, le 5 septembre 2007 :
L'Andalousie garantit par loi un étage à celui qui gagne moins de 3.000 euros par mois
Remarquez-lui l'usage du présent d'indicateur. Les titres de la nouvelle passaient déjà au temps futur :
Tous les Andalous avec des revenus inférieurs à 3.000 euros auront un droit par loi à un logement digne, dans une location ou dans une propriété, et ils paieront par cela un maximum de 33 % de ses revenus. Le Gouvernement socialiste de l'Assemblée de l'Andalousie a présenté hier l'avant-projet de loi qui règle ce droit, "exigible à toutes les administrations publiques", comme explique le texte légal.
Le texte éclaircissait qu'il ne donnerait pas de temps à approuver la loi dans cette législature, qui finissait en mars 2008. Dès qu'il faudrait attendre la suivante (l'actuelle).
Eh bien, hier (2 ans et cinq mois après ce titulaire dans un présent d'indicateur) le Parlement Andalou a approuvé une loi sur un logement, que semblerait être la descendante de cette proposition. Il ne vient pas aujourd'hui sur une couverture Du Pays, mais oui dans la section l'Espagne, avec ce titulaire :
L'Andalousie approuve la loi qui garantit le droit à un logement
Enfin a-t-on garanti le droit à un logement de tous les Andalous qui gagnent moins de 3.000 euros, par un maximum de 33 % de sa rente ? Allez, il paraît que non :
La loi n'introduit pas le droit d'exiger dans les tribunaux la propriété d'une maison, mais oui il permet aux citadins de réclamer devant les tribunaux de contentieux - Administratif la non-éxecution des obligations de la part des Administrations publiques dont il y a des plans de logement protégé. Les Administrations disposent de deux ans de marge avant que ne puissent se présenter des demandes pour cette cause.
Dans deux ans, presque cinq après le titulaire fameux dans un présent d'indicateur, les Andalous pourront demander les mairies et d'autres administrations qu'ils n'aient pas approuvé un plan de logement protégé. Si la nouvelle d'aujourd'hui Du Pays est correcte, il n'y a plus de droit protégé. C'est tout. Que quelqu'un m'explique :
a) comment le titulaire justifie ce contenu de la loi utilisé aujourd'hui;
b) quand la rectification de la couverture sera publiée du 5 septembre 2007, qui incluait une nouvelle qui a semblé fausse;
b) quand c ***** s les journaux vont arrêter de faire pre-riodismo, et ils arrêteront de présenter comme certain et en vigueur les mesures dans l'état absolument embryonnaire, qui sont simplement étudiées, réfléchies, annoncées ou méditées par les hommes politiques, ou qui sont bonbons purs électoraux, des bluffs, sans rien derrière.
Faites ici ses commentaires à la MP l'Express de Mars 2010

Le Monde au carré

J'ai été dans la présentation Du Monde dans Orbyt. Quelques autres invités l'ont compté déjà, comment Rodrigo Ponce de Léon dans 1001 Moyens et Pablo Herrero dans une Communication s'appelle le jeu que les clés basiques donnent pour que vous compreniez de quoi nous parlons.
Puisqu'ils avaient organisé une séance de présentation spécialement dirigée à bloggers, il pensait que nous allions trouver un produit plus orienté à un web 2.0. Ils savent déjà, des réseaux sociaux, une participation, horizontalidad...
Mais ce n'est pas cela. Ils nous ont présenté une nouvelle forme de distribuer un produit de communication traditionnelle, avec une claire séparation entre des producteurs de contenu et des consommateurs du même. Et avec minimum (comme ce qu'ils nous ont comptés) interaction avec le reste de réseau ("lundi il n'y aura pas de liens, mais un lundi ils existeront"). Les contenus ont les icônes typiques pour partager à travers de Remue-moi, Twitter, Facebook... mais après être contenu d'un paiement, je suppose que les liens seront seulement utiles pour d'autres souscripteurs. Et pour ma surprise, ni même section de Ton Monde il semble qu'il va promouvoir beaucoup la création de communauté d'utilisateurs.
Dès que Le Monde dans Orbyt est Le Monde au carré. C'est-à-dire tout le contenu Du Monde dans un papier (toutes l'éditions, un suppléments et une revues), avec tout le fichier historique, avec une nouvelle plate-forme pour le lire, apparemment plus confortable et versatile (mais l'il faudra voir fonctionner) et complétée avec les compléments audiovisuels, qui semblent se concentrer pour l'instant surtout dans les commentaires et l'opinion (quelques exemples étaient rédacteurs du journal dans de bref vidéo en commentant les nouvelles du jour). Très adapté pour un journal comme Le Monde, qui parie par le journalisme d'opinion et de grandes signatures. Je ne sais pas si comme opération patronale il fonctionnera, mais en tout cas je ne vois pas d'innovation conceptuelle sur ce qu'il est de faire le journalisme dans des temps d'Internet.
Il faudra voir comment il évolue. Ils nous ont offert un compte d'utilisateur d'un mois (merci), dès que je le prouverai et je les compterai.

Tuesday, March 9, 2010

Un graphique de championnat

Expansion.com un étranger graphique comparatif a publié le mardi (mille grâce à Luis par le lien) entre la valeur économique de différentes sélections de football qui iront au championnat mondial (en réalité, seulement compare, deux à deux, l'espagnole avec chacune des autres). Apparemment, une consultante a estimé combien coûterait de ficher les 25 joueurs qui plus de minutes ont joué avec chaque sélection à la phase de classement et il a fait avec cela une estimation de valeur de chaque sélection. C'est raisonnablement une chose sérieuse, et donne comme en ressorti que la sélection espagnole serait la plus chère.
Mais le graphique n'a pas de pieds et de tête. Et dessus ils auront consacré à faire un tas d'effort. Voyons. La plupart d'espace occupe un dessin d'un terrain de football, avec les joueurs habillés avec l'uniforme des deux sélections comparatives (l'une est fixe, Espagne, et l'autre change après avoir glissé la souris sur le nom d'autres sélections). Une information : zéro (ou presque). La comparaison est faite dans deux parties. D'un côté, aux côtés, deux barres vertes sont liées au poste de la sélection dans le classement FIFA : L'Espagne, nº 1, a la barre verte pleine même là-haut, des autres sélections, des barres plus vides comme sa position. La comparaison entre les valeurs (que l'on suppose que ce soit le nouveau) est faite par deux cercles rouges que
  • ils ne tiennent pas dans le domaine du dessin (celui de l'Espagne "sort" par la droite),
  • ils apparaissent dans le fond, le milieu couvert par le terrain de jeu, et des noms des pays,
  • ils cherchent à représenter, apparemment, la valeur estimée des sélections, mais ils ne gardent pas la proportion entre les valeurs par ses aires, mais (apparemment) par ses rayons (l'erreur stupide que nous avons souvent critiquée déjà ici).
Cela la comparaison être est, par exemple, l'Espagne et la France :

Et c'est la comparaison entre l'Espagne et le Chili :

Si le cercle rouge représentait la valeur de la sélection il devrait être presque exactement 7 fois plus petit que celui de l'Espagne. Au lieu de cela, s'il est proportionnel au rayon (je le suppose, mais je ne l'ai pas vérifié), le petit cercle sera les unes 49 fois plus petit que le grand cercle (qui ne se trouve pas de toute façon entier!!!).
Réellement un exemple spectaculaire de comment cacher une information à travers des graphiques. Avec combien simple aurait été un graphique à barres, avec fanions ou des couleurs d'uniforme, en ordonnant les pays par ranking FIFA, et avec les barres proportionnelles à la chère valeur. Là on verrait parfaitement, d'un seul un coup d'oeil, les différences de la valeur entre toutes les équipes participantes (et pas seulement en comparaison de l'Espagne), et la relation (ou un manque d'elle) entre la valeur des sélections et du ranking FIFA. Un cas pour les anthologies de combien de dommage peut faire l'infographie à de mauvaises mains.

Elmundo.es, attrapé en gommant ses erreurs

Je vois (une voie @aberron) qui dans Testblog racontent qu'une fausse nouvelle de The Onion, la revue d'humeur, selon laquelle dans un discours d'Obama, cela s'est tu et sa voix a continué de sonner (comme s'il faisait playback) elle a été publiée dans elmundo.es.
Cependant, le lien ne fonctionne pas déjà. Il semble que simple et simplement, ils ont gommé la nouvelle de son web. Il ni pardonne une rectification. Une place effacée. Heureusement, ils sont un peu maladroits, et ont laissé quelques traces de sa gaffe (encore visibles à 12:22 heure d'aujourd'hui) :
A. Chez le chercheur de couverture, si vous introduisez Obama ils trouvent, en premier lieu, ce résultat :
1. Obama: attrapé en faisant play back ? Une coïncidence : 76.41 % - Datent : 05/03/2010
Pendant un discours dans l'université de Michigan le président arrête de parler, mais sa voix continue d'écouter.
http://www.elmundo.es/america/2010/03/05/estados_unidos/1267... - [s'ouvrir dans une nouvelle fenêtre]
Voyez d'autres nouvelles relatives
Cependant, le lien mène à la couverture d'elmundo.es
B. Dans Google j'ai pu trouver une version pour l'édition Du Monde / Accessible qu'ils n'ont pas encore gommé. Elle est cette :

Des amis d'Elmundo.es : Mal pour vous croire prochain trola, mal pour ne pas contraster, mal pour gommer le publié au lieu de rectifier... et je ne sais pas si mal (ou bien) pour ne pas savoir le gommer tout à fait.